Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette au centre de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les libidos danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une inhalation lente, une usage parvenue d’un acte ancestral répété sempiternellement. Les morceaux, https://connermhzri.bloguerosa.com/33197187/la-matière-qui-corresppond