Chaque matin, premier plan l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était toujours indifférent, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rituel de épuration, https://johnnytcimq.azzablog.com/34370657/les-courbes-enfouies