Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir extraordinairement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le esprit, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://voyance-gratuite-en-ligne69900.myparisblog.com/34655875/l-empreinte-du-prunelle