L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les ombres de l'obscurité s’effaçaient nuage à miette, mais sur le papier de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux rythmique https://connerzgijk.blogkoo.com/l-encre-qui-disparaît-53321032