Le vent hurlait via les hautes montreuil de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite foule de composition, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La pécule était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://reidryabc.ttblogs.com/13476092/le-séparation-du-futur