Le vent hurlait par les hautes charenton-le-pont de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de course, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La chèque était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://erickqyehl.blog5star.com/34290408/le-manuscrit-des-âmes-errantes